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Généalogie familiale, Beaux-Arts & histoires

Découvrir ceux qui sont morts pour nous rapprocher entre vivants

Comment ça marche ?

Je veux connaître la vie de mon ancêtre, comment cela fonctionne-t-il ?

Tout commence par un échange de mails dans lequel vous m’expliquez sur quelle branche ou lieu vous souhaitez que je travaille. Il peut s’agir d’ancêtres complètement inconnus dont n’avez que le nom, ou des ascendants qui ont pu léguer des lettres, des photos, des objets, ou divers documents notariaux. Ce second exemple donnera une biographie bien plus fournie mais il est aussi possible que je vous retrouve une cousine très éloignée disposée à partager ses informations familiales !

A partir de là, on commence par le Forfait de base, puis les Pointillés de Vie, la Biographie Illustrée et enfin l’Encyclopédie, une ou plusieurs personnes parallèlement (plus facile s’il s’agit du même lieu).

Chaque document trouvé compte pour 20 euros (sauf ceux que vous m’apportez, à l’exception des actes paroissiaux ou d’état civil)

Vous arrêtez quand bon vous semble et je vous tiens au courant de chaque nouveau document trouvé, que j’exploite et mets en forme, après réception du paiement, sur un document individuel enrichi petit à petit, par tranches de 10 ou 20 documents par exemple.

Si vous le désirez, quand vous estimez avoir suffisamment d’informations pour avoir une bonne idée du fil de la vie d’un ancêtre, il est possible de l’imprimer sous la forme d’un beau livre, qui sera un cadeau unique à offrir à vos proches ! N’hésitez pas à vous cotiser entre descendants d’une même personne, ce qui vous permettra d’obtenir beaucoup plus de documents sans être limités par le prix

Le Forfait de base

Comme son nom l'indique, c'est la base de la base, les actes de Naissance et Décès, ou Baptême et Sépulture (sous l'Ancien Régime), et le ou les éventuels Mariages, et qui seront résumés sous les lettres BMS et NMD

Les Pointillés de vie

Les Pointillés de la vie d'un ancêtre partent des actes BMS ou NMD de base, auxquels s'ajoutent plusieurs documents : les recensements, la fiche militaire..., afin de réunir des informations de base sur ses parents, ses frères et sœurs, ses enfants

La Biographie Illustrée

Elle reprend toutes les informations trouvées précédemment, auxquelles s'ajoutent des portraits - issus majoritairement des Beaux-Arts - de l'ancêtre, ainsi que de ses parents, adelphes, conjoint.e et enfants

L'Encyclopédie

Tout ce qui précède est accessible sur internet. L'Encyclopédie suppose des déplacements aux Archives.

Nos Services

Prestations de généalogie familiale

À quoi correspond le Forfait de Base ?

Comme son nom l’indique, c’est la base de la base, les actes de Naissance et Décès, ou Baptême et Sépulture (sous l’Ancien Régime), et le ou les éventuels Mariages, et qui seront résumés sous les lettres BMS et NMD

Ce forfait (et ceux qui suivent) comprend :

  • la création d’une fiche individuelle de l’ancêtre
  • une remise en contexte historique et sociétal de son époque
  • l’exploitation gratuite de tout document (hors acte) que vous apportez, par exemple photos de groupe,  diplômes, papiers familiaux, etc.
  • les obtentions et exploitations des actes BMS ou NMD le concernant
  • les indications d’éventuelles fausses pistes, pour indiquer le cheminement qui a permis de trouver les informations
  • les indications de pistes de recherches plus précises à dérouler dans les autres forfaits, par exemple si un acte de mariage précise qu’il y a eu un contrat avec la date, le lieu et le nom du notaire
  • les éventuelles informations en attente : parfois, des documents ne sont pas accessibles et nécessitent une demande officielle aux mairies, paroisses ou archives, ce qui suppose un certain délai de réponse…
  • d’éventuels ajouts illustratifs qui n’ont pas nécessité de recherches généalogiques précises (par exemple le portrait du dirigeant de l’époque de la naissance de l’ancêtre)
  • un échange de mail régulier et la réponse à vos questions généalogiques, dans la mesure du possible.

Vous obtiendrez la fiche de base de votre ancêtre avec tous les documents que vous possédez déjà, mis au propre de façon chronologique sur sa Ligne de Vie, pour 60 euros (3 actes à 20 euros). Si vous vous cotisez entre cinq cousins/cousines, cela ne représente que 12 euros par personne pour ce forfait de base !

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À quoi correspondent les Pointillés de Vie ?

Les Pointillés partent des actes BMS ou NMD de base, auxquels s’ajoutent plusieurs documents :

  • les recensements, environs tous les 5 ans depuis 1836 et très précieux pour informer de l’adresse et la composition du logement de l’ancêtre.
  • la fiche militaire, une mine de renseignement sur la vie des hommes durant leurs années de service militaire, et parfois au-delà ! Elle contient des informations sur les dates et lieux de leurs différents régiments, les éventuelles campagnes militaires, les dates de retour à la vie civile, avec les adresses, une description physique sommaire et les éventuelles blessures.
  • les BMS et NMD des parents, adelphes et enfants de l’ancêtre, pour pouvoir le situer dans ses situations familiales au cours de sa vie (la personne est-elle née moins de 9 mois après le mariage de ses parents ? A-t-elle eu beaucoup de frères et sœurs ? Avec quelle différence d’âge ? A-t-elle subit un veuvage ou un divorce ? A-t-elle perdu des enfants ?)
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À quoi correspond la Biographie Illustrée ?

La Biographie Illustrée reprend toutes les informations trouvées précédemment, auxquelles s’ajoutent des portraits – issus majoritairement des Beaux-Arts – de l’ancêtre, ainsi que de ses parents, adelphes, conjoint.e et enfants.
C’est la partie qui donne véritablement vie à ce qui n’était auparavant qu’une suite de noms et de dates, c’est ce qui permet d’imaginer des visages et des liens familiaux à travers des scènes picturales à retrouver dans les Musées. Cette partie comprend également le contact d’éventuels cousins, susceptibles de partager des photos ou documents familiaux très précieux !

À cela s’ajoutent des cadastres et plans des lieux où les ancêtres ont vécu, des cartes postales anciennes des rues, des articles de journaux qui les mentionnent (de façon souvent involontairement très drôle !), et d’éventuelles récompenses et médailles (du Mérite Agricole, de la Famille Nombreuse, de la Légion d’Honneur, etc.)

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À quoi correspond l’Encyclopédie ?

Tout ce qui précède est accessible sur Internet. L’Encyclopédie suppose des déplacements aux Archives Départementales.

Le Service Historique de la Défense à Vincennes contient des renseignements extrêmement détaillés sur la vie militaire des hommes ; les archives notariées recensent les contrats de mariage, actes de propriétés, inventaires après décès, et une foule d’autres documents ; les archives judiciaires listent les moments où les ancêtres ont eu affaire à la justice, ne serait-ce qu’en tant que témoins, et donnent des détails très précis sur les phrases employées, les tenues vestimentaires, la situation familiale et professionnelle exacte à un moment donné, et la société dans laquelle les personnes évoluaient. C’est tout un pan de l’Histoire d’un coin de France, avec ses spécificités, ses règles plus ou moins anachroniques et son état d’esprit social.

Le temps nécessaire et le cas par cas ne permettent plus un paiement par forfait, mais par heure, auquel il faut ajouter les frais de déplacement et le travail de préparation pour connaître les cotes des registres à étudier.

Foire aux questions

Pourquoi il y a-t-il si peu de documents sur les femmes de ma famille ?

Sexisme.

C’est à cause de nombreuses lois (notamment sous Napoléon), qui considéraient globalement les femmes mariées comme d’éternelles mineures sous l’autorité de leur mari.

En généalogie, cela se traduit par l’absence des femmes sur les listes électorales (le droit de vote féminin en France date de 1944), les lois complexes d’héritage, l’impossibilité pour les femmes d’être officiantes d’état civil, l’habitude des journaux de désigner les épouses comme Mme Nom-du-mari, les rares fois où elles sont citées, et un désintérêt historique global pour leurs vies et leurs activités. Les recensements décrivent très souvent les épouses comme « sans profession », alors même que les femmes de commerçants, artisans ou cultivateurs participaient grandement à l’activité de leur conjoint, et il arrive qu’elles ne soient même pas appelées par leur nom de naissance !

Le fait d’avoir les actes sous les yeux n’est que la première étape, il faut ensuite les reporter sur un logiciel, connecter les personnes, les lieux et les dates, et chercher éventuellement d’autres pistes.
Un acte de mariage habituel apporte déjà onze noms à indexer ! (1 officiant + 2 mariés + 4 parents + 4 témoins)

La presse a pris son essor au milieu du XIXe siècle, il est donc très difficile de trouver des journaux plus tôt, d’autant plus que la majorité de la population ne savait ni lire ni écrire. Plus on remonte dans le temps, moins il y aura d’informations facilement accessibles en ligne (mais des document notariés, juridiques ou militaires peuvent toujours être disponibles aux Archives Départementales !)

De plus, entre les incendies, bombardements, humidités, rats, et personnes qui ont mal rangé au fil des siècles, beaucoup de documents ont été perdus, sans compter l’écriture pas toujours déchiffrable des officiants !

Des personnes nées en 1750 et qui ont pu atteindre la quarantaine ont connu le calendrier révolutionnaire et l’établissement des état civils officiels par les mairies, bien plus rigoureux que les archives paroissiales.

Il bien sûr possible de remonter plus loin dans le temps, mais il y a généralement trop peu d’informations accessibles en ligne pour proposer une biographie complète et illustrée.

Et la date maximale de 1950 est choisie parce que la plupart des archives (recensements, presse ancienne, actes de mariage, etc.) imposent une limite de plus de 75 ans avant diffusion, pour protéger les personnes figurant dans ces registres qui sont susceptibles d’être encore en vie .

Cette limite de 1750/1950 reste arbitraire, il est possible de la dépasser légèrement, en tenant compte des contraintes citées !

Les frontières ont bien changé en 3 siècles, mais la France n’a pas archivé de la même façon sur tous ses territoires.
En outre, une bonne partie de la généalogie repose sur la paléographie, qu’il est préférable de ne faire que dans sa langue maternelle (je lis également le latin si besoin, mais uniquement parce qu’il n’y a pas tellement de locuteurs natifs…)

Ce sont principalement des œuvres d’art exposées dans des musées, bien qu’elles puissent parfois venir de collections privées. Le plus difficile (et le plus amusant !) est de choisir le bon tableau, avec l’époque appropriée, le lieu qui correspond, et une scène de genre qui peut raconter quelque chose sur les personnes qui y figurent. Il peut arriver aussi que je trouve des dessins, gravures, esquisses, etc.

Comme j’aime bien me compliquer la vie, je me suis fixé plusieurs règles :

  • Il ne peut s’agir d’une photographie qui représente de vraies personnes, même si leurs noms ont été oubliés
  • De même, ce ne peut pas être un tableau qui décrit une personne qui est nommée
  • Il faut plus d’une personne sur l’œuvre. Les portraits en buste sur fond neutre sont très faciles à trouver mais je cherche plutôt des scènes avec des personnes, les membres d’une famille, avec un arrière-plan qui installe une époque et un univers, et un quotidien capturé par l’artiste.

Ça dépend.

S’il s’agit d’archives bien rangées, trouver les actes initiaux BMS ou NMD et les exploiter sur logiciel peut prendre quelques heures à peine. S’il y a des doutes sur les lieux de vie, ça peut être beaucoup plus long de recouper les indices, mais c’est là que commence le défi du travail de détective !

De la même façon, si un ou une ancêtre s’est marié.e 3 fois, a eu 15 enfants, a déménagé souvent et était une personne notable dans ses lieux de vie, il y aura beaucoup plus à dire que sur sa petite sœur décédée à l’âge de 2 ans !

Il faut aussi compter le temps de réponse des différentes personnes ou services contactés : mairies, cousins Généanet, Service Historique de la Défense, Archives départementales, etc.

En règle générale, on peut s’attendre à plusieurs semaines pour un seul ancêtre, et plusieurs mois pour toute une lignée

En premier lieu, il faut espérer que les registres soient toujours disponibles. Si ce n’est pas le cas, il est possible de retrouver des liens familiaux, en faisant de grands détours par les actes d’autres membres de la famille, jusqu’à retrouver une mention de l’ancêtre recherché(e) et donc une preuve de lien.

Ensuite, les ancêtres portaient souvent les mêmes prénoms de père en fils, ce qui tend à les confondre sur les actes où les âges ne sont pas précisés et en l’absence de signature.

Enfin, les lieux ont leur importance. Une grande ville sera paradoxalement plus complexe, par la possibilité de confusions homonymiques et les énormes registres de recensements, mais elle disposera possiblement de davantage de documents moins habituels, tels que des listes d’hospices ou d’indigence par exemple. Cependant, les petits villages ont tendance à être imprécis dans les descriptions de personnes, étant donné que « tout le monde se connaît ! », mais s’il y a un événement local, il est fort probable que l’ancêtre y ait assisté sans être nommé, ce qui donne de précieuses indications sur son mode de vie et la société dans laquelle il évoluait.

L’évolution des frontières françaises a également un impact sur la façon dont les registres ont été constitués ou non : Pour le cas du recensement, Généanet nous apprend qu’ils n’existent pour les Alpes-Maritimes, Savoie et Haute-Savoie qu’à partir de leur annexion à la France (1860), ils diffèrent sensiblement pour le Bas-Rhin, le Haut-Rhin et la Moselle annexés par l’Allemagne entre 1871 et 1919, et ils n’ont tout simplement pas été établis pour Paris avant 1926, tant l’opération était d’ampleur. Le département du Maine-et-Loire ne possède également aucun recensement avant 1936, la loi ne faisant pas obligation de les conserver au-delà d’un certain temps.

Pour chaque ancêtre et chaque localité française, les documents disponibles seront différents !

Lexique

BMS : Baptême/Mariage/Sépulture (sous l’Ancien Régime)

NMD : Naissance/Mariage/Décès (à partir de 1793)

Adelphe : désigne les personnes qui ont le même père ou la même mère, ou les 2, soit les frères et sœurs, demi-frères et demi-sœurs, et éventuellement des bébés morts-nés dont on ignore le sexe

Document : acte de BMS ou NMD, fiche militaire, recensement, acte notarial, extrait de livre, carte postale ancienne, photo, article de presse, etc. Chaque document compte pour 20 euros

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